Le verset [3:169] est très compliqué à comprendre,
il faut d'abord comprendre plusieurs notions et principes de la creation des deux monde (le notre actuel et celui d'après la résurrection) et aussi de leur relation.
Je vais simplifier au maximum ces notions:Les deux mondes (le notre actuel et celui d'après la résurrection) sont lié entre eux:
Selon notre vision nous les êtres humains l'un et la suite de l'outre car ont est coincé dans le temps mais pour
Dieu qu'est hors du temps (
car c'est lui qu'a créer le temps)
les évènements des deux monde se passe touts en même temps car pour Dieu il n'y a pas du passé, du présent et du futur,
tous est du passée c'est pour cela Dieu parles des envenimement du jour de résurrection et du paradis en utilisant des verbes conjugué dans passé!
pour Dieu tous c'est du passe et déjà vu.
Alors dans les verset que tu a publier, Dieu dit à ceux qui avaient peur de combattre les mécréants puis ils parlent des musulmans qui ont été mort (Tuer) dans ces batailles qu'ils se trompe car la mort peut venir jusqu’à leur maison à n'importe quelle moment et que la mort n'est pas forcement lié au Batailles.
Puis Dieu leur dit dans le verset [3:169] que ceux que vous dites qui sont mort dans ces batailles avec les mécréants
ne le sont pas, car ils sont déjà vivants au Paradis
dans la vrais vision éternel, celle de Dieu, et votre vision est erroné car
vous êtes figé dans le temps,
la vision correcte est celle de Dieu qu'est hors du temps et dans cette vision tous le monde est vivant la mort est juste un envenimement qui dure une fraction de second.Dieu nous voit déjà au paradis, pour lui cela est déjà passé mais pour nous c'est du futur c'est là toute la différence.
Puis au jour de Jugement, ceux qui sont Mort en défendant l'Islam avec notre prophète son les premier qui rentre au Paradis et comme le jugement va duré longtemps ils vont attendre avec impatience les autres qui ne son pas encore enter au paradis. Cela est bien un éventement de l'autre monde mais pour Dieu cela aussi est déjà passé bien-sur, et ils nous le raconte comme un envenimement du passé.